Pourquoi reconnait-on une écriture parmi d’autres ? 1ère partie – par l’AGMP de Toulouse et Laurence Grand Champ des Raux

Cet article est issu de la mise en commun et du retour d’expérience sur le thème de “l’identité graphique” à partir de l’étude réalisée par Laurence Grandchamp des Raux : « Permanence et changements dans l’écriture : études longitudinales” et le travail réalisé par le groupe de recherche « Identité graphique » de l’AGMP de Toulouse.

L’ étymologie du mot  « IDENTITÉ » vient de  « IDEM », c’est-à-dire « LA MÊME CHOSE ».

Tout sujet a le sentiment d’être lui-même depuis le moment où sa mémoire le représente : il se reconnait sur des photos prises à chaque étape de sa vie ; il éprouve un sentiment d’identité qui est un sentiment de continuité dans le temps.
On peut donc parler d’une permanence de soi passant par un sentiment d’altérité : on ne peut se définir et se différencier que par rapport à l’autre.
De même, reconnaitre une écriture, c’est admettre son caractère unique et la différencier d’une autre.
On peut donc parler d’une « identité graphique ».

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